Percy Cayetano Acuña Vigil

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LES VILLES DE DROITE FACE AUX RÉFUGIÉS

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Les villes de droite face aux réfugiés

Le Monde.fr | 17.09.2015 à 14h16 • Mis à jour le 17.09.2015 à 14h17

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Des refugies syriens a Saint-Ouen (Seine-Saint-Denis), le 21 avril 2014.

La question de l’arrivée des migrants en France suscite un vif débat chez Les Républicains, partagés entre le respect du droit, la tradition d’hospitalité et les problèmes sociaux et culturels liés à l’intégration. Les maires de Saint-Etienne (Loire) et du Blanc-Mesnil (Seine-Saint-Denis) témoignent.

- « Ma ville ne peut pas accueillir de nouveaux migrants », estime le maire du Blanc-Mesnil. La Seine-Saint-Denis, où la population est déjà très fragilisée, ne peut plus ouvrir ses portes aux immigrés, estime Thierry Meignen, maire (LR) de la commune. Il faut mettre en place des quotas par départements, car la charge d’accueil est mal répartie. Il explique que « pour la seule rentrée scolaire de ce mois de septembre, l’afflux de cette population hébergée a nécessité l’ouverture de cinq classes supplémentaires dans les écoles de la ville afin de pouvoir y scolariser les enfants des réfugiés. Ce coût, de plus d’un million d’euros, sera directement supporté par les finances de la ville et les impôts des Blanc-Mesnilois (…). Les conséquences de cette situation nouvelle, outre le coût qu’elle engendre pour les contribuables, sont catastrophiques pour les populations déjà sur place. Dans les écoles du centre-ville, certaines classes comptent déjà dans leurs effectifs plus de la moitié d’enfants ne parlant pas du tout la langue française ».

- A Saint-Etienne, l’accueil n’est pas un vain mot. Pour Gaël Perdriau, le maire (LR) de Saint-Etienne, et président de Saint-Etienne Métropole, refuser d’aider les réfugiés, c’est un raisonnement à courte vue. Pour lui, « toutes ces communautés d’horizons très différents, souvent arrivées en nombre à Saint-Etienne, à des époques de crise socio-économique (France ruinée de l’après-­guerre dans les années 1920 ou les années 1950, Grande Dépression des années 1930, désindustrialisation et hémorragie démographique des années 1980-1990), se sont parfaitement intégrées et ont contribué à notre richesse économique, sociale et culturelle. Mais les migrants économiques non autorisés ou les demandeurs d’asile déboutés, sans droit ni titre, doivent être reconduits dans leurs pays d’origine ».

A lire aussi :

- Hébergement des réfugiés : le volontariat plutôt que les quotas, par Nicolas Chapuis, Maryline Baumard et Isabelle Rey-Lefebvre.

- Accueil des réfugiés : les députés ne veulent pas « faire n’importe quoi », par Hélène Bekmezian, Alexandre Lemarié, Nicolas Chapuis et Bastien Bonnefous.

- Un gisement de 20 000 places pour les migrants, par Maryline Baumard et Isabelle Rey-Lefebvre.

- Les Français réticents à l’idée d’accueillir des étrangers, par Jean-Baptiste de Montvalon.

- Le gouvernement bat le rappel des maires, par Maryline Baumard.

- Petit guide pour distinguer les vrais chrétiens de faux, par Jean-Claude Bourdin. L’intention, affichée par certains maires, de trier les réfugiés en fonction de leur religion, est une honte. Mieux vaut traiter par l’ironie cette charité sélective et proposer à ces élus un test d’identification du chrétien véritable

En savoir plus sur http://www.lemonde.fr/idees/article/2015/09/17/les-villes-de-droite-face-aux-refugies_4761193_3232.html#EbkvO5yj5OdhMuGs.99

El tema de la llegada de los inmigrantes en Francia plantea un acalorado debate entre los republicanos, dividido entre el respeto a la ley, la hospitalidad tradicional y temas culturales y sociales relacionados con la integración. Los alcaldes de Saint-Etienne (Loira) y Blanc-Mesnil (Seine-Saint-Denis) atestiguan.

- "Mi ciudad no puede acomodar a los nuevos inmigrantes", dijo el alcalde de Blanc-Mesnil. El Sena-Saint-Denis, donde la población ya es muy frágil, no puede abrir sus puertas a los inmigrantes, dijo Thierry Meignen Mayor (LR) del municipio. Debemos establecer departamentos de cuotas, como la carga de acogida se distribuye de manera desigual. Él explica que "para el solo de regreso a la escuela este mes de septiembre, la afluencia de esta población hizo necesario fue sede de la apertura de cinco nuevas aulas en las escuelas de la ciudad para poder educar a los hijos de los refugiados. El costo, más de un millón de euros, estará directamente apoyado por las finanzas de la ciudad y de impuestos Blanco Mesnilois (...). Las consecuencias de esta nueva situación, además de los costes que genera para los contribuyentes, son catastróficas para la gente que ya están allí. En las escuelas del centro de la ciudad, algunas clases ya tienen en su mano de obra más de la mitad de los niños no parecen en absoluto la lengua francesa ".

- En Saint-Etienne, la hospitalidad no es una palabra vacía. Para Gaël Perdriau, el alcalde (LR) de Saint-Etienne, y el presidente de Saint-Etienne Métropole, se niegan a ayudar a los refugiados, es un razonamiento miope. Para él, "todos estos diferentes orígenes de las comunidades, a menudo llegan a los números en Saint Etienne, un épocas socioeconómico de crisis (Francia arruinaron la posguerra en los años 1920 o 1950 Gran Depresión 1930, la desindustrialización y la sangría demográfica 1980-1990), son perfectamente integrado y contribuyó a nuestra riqueza económica, social y cultural. Pero los inmigrantes económicos no autorizados o solicitantes de asilo rechazados, sin derecho o título, deben ser re-país ".

Lea también:

- Alojamiento para los refugiados: voluntaria en lugar de cuotas, de Nicolas Chapuis, Maryline Baumard e Isabelle Rey-Lefebvre.

- Inicio de los refugiados: los diputados no quieren "hacer nada" por Helen Bekmezian Alexander Lemarié, Nicolas Chapuis y Bastien Bonnefous.

- Un depósito de 20 000 asientos para los migrantes, por Maryline Baumard e Isabelle Rey-Lefebvre.

- Los franceses reacios a dar la bienvenida a los extranjeros, por Jean-Baptiste de Montvalon.

- El gobierno gana a la retirada de los alcaldes por Maryline Baumard.

- Una guía corta para distinguir lo verdadero de los falsos cristianos, por Jean-Claude Bourdin. La intención mostrada por algunos alcaldes, ordenar los refugiados de acuerdo con su religión, es una vergüenza. Es mejor tratar con ironía esta caridad selectiva y ofrecer éstos eligieron una verdadera prueba de identificación del cristiano